Pourquoi la Porsche 917 est une icône du sport automobile ?
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Pourquoi la Porsche 917 est une icône du sport automobile ?

Mythe parmi les mythes, la Porsche 917, deux fois victorieuse des 24 Heures du Mans en 1970 et 1971, est toujours autant appréciée des fans de sport automobile. Avec ce modèle, la firme allemande a créé plus qu’une machine à gagner, mais une véritable icône qui continue de rayonner 50 ans plus tard. Mais au fait, pourquoi ?

La naissance d’une dynastie

Il est plus facile de se remémorer une voiture quand elle triomphe ; et c’est là tout l’objectif de Porsche lorsqu’ils dévoilent la 917 au Salon Automobile de Genève en 1969. Construite en seulement dix mois pour correspondre au nouveau règlement de la catégorie Sport, elle embarque un moteur 12 cylindres à plat de 4.5 L pour 580 chevaux et un châssis tubulaire en aluminium très léger (pour un poids total de 800 kg). Sur le papier, elle est déjà redoutable, plus encore que sa prédécesseure, la Porsche 908.

L’ordre est limpide ; Gagner les 24 Heures du Mans le plus vite possible. Porsche, en Sarthe, avait déjà eu du succès avec 28 victoires de classe depuis 1951, mais jamais les Allemands n’avaient dominé le classement général. En 1969, les Porsche 917 connaissent bien des ennuis, et aucune ne franchit la ligne malgré une pole position très rapide de Rolf Stommelen. La première des 908 manque de gagner la course, et termine à seulement 20 mètres de la Ford GT40 de Jacky Ickx et Jackie Oliver. Le public est médusé par le look, mais aussi, la vitesse foudroyante du nouveau prototype.

  • Les 25 premières Porsche 917 nécessaires pour concourir présentées à la Commission Sportive Internationale en avril 1969.
  • Équipée du légendaire moteur 12 cylindres à plat, la 917 est reconnaissable rien qu'à son bruit. Ici celle de Rolf Stommelen et Kurt Ahrens Jr. aux 24 Heures 1969, en pole position.
  • Diablement rapide, elle était aussi très instable, et faisait peur aux pilotes. Malheureusement, John Woofle, sur la Porsche 917 #10, trouva la mort à son volant aux 24 Heures 1969.
  • Les 25 premières Porsche 917 nécessaires pour concourir présentées à la Commission Sportive Internationale en avril 1969.
  • Équipée du légendaire moteur 12 cylindres à plat, la 917 est reconnaissable rien qu'à son bruit. Ici celle de Rolf Stommelen et Kurt Ahrens Jr. aux 24 Heures 1969, en pole position.
  • Diablement rapide, elle était aussi très instable, et faisait peur aux pilotes. Malheureusement, John Woofle, sur la Porsche 917 #10, trouva la mort à son volant aux 24 Heures 1969.
  • Les 25 premières Porsche 917 nécessaires pour concourir présentées à la Commission Sportive Internationale en avril 1969.
  • Équipée du légendaire moteur 12 cylindres à plat, la 917 est reconnaissable rien qu'à son bruit. Ici celle de Rolf Stommelen et Kurt Ahrens Jr. aux 24 Heures 1969, en pole position.
  • Diablement rapide, elle était aussi très instable, et faisait peur aux pilotes. Malheureusement, John Woofle, sur la Porsche 917 #10, trouva la mort à son volant aux 24 Heures 1969.
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Les 25 premières Porsche 917 nécessaires pour concourir présentées à la Commission Sportive Internationale en avril 1969.

La 917 bénéficie de grosses évolutions pour 1970, que ce soit au niveau du moteur, ou du châssis. Sept sont au départ, mais pas toutes avec les mêmes carrosseries. En piste, on trouve des 917 K (pour « Kurz », soit « châssis court »), plus stables, et des 917 LH (pour « Lang Heck », soit « longue queue », comprenez « châssis long »). Ces dernières sont plus aérodynamiques, plus fluides, et bénéficient d’une meilleure vitesse de pointe dans les Hunaudières.

L’HISTOIRE AIME LES VAINQUEURS

Porsche a les faveurs du Mans. Une pole position, suivie d’une domination sans partage sur la course. Il y a des abandons, certes, mais jamais un autre modèle ne passe en tête. La firme de Zuffenhausen remporte les 24 Heures du Mans pour la première fois. Hans Herrmann et Richard Attwood s’imposent sur la 917 K #23 engagée par Porsche KG Salzburg, tandis que la 917 LH #3 du Martini Racing Team complète le doublé.

  • La première victoire Porsche pour la 917 K #23. Elle aurait pu être pour la 917 K #20 de J.W.A Engineering, mais cette dernière a cassé son moteur à la 12e heure, après avoir mené sept heures consécutives.
  • Ici, la 917 LH #3 du Martini Racing Team, pilotée par Gérard Larrousse et Willy Khausen. On voit bien la différence d'aérodynamique avec un modèle "K".
  • La 917 LH #3 arborait une livrée particulière ; de mystérieuses formes vertes sur fond violet. La police du numéro est aussi particulière, ce qui valut à la voiture un surnom : la 917 "Psychédélique".
  • La légende en piste au Mans
  • ... Soit son habitat naturel.
  • La première victoire Porsche pour la 917 K #23. Elle aurait pu être pour la 917 K #20 de J.W.A Engineering, mais cette dernière a cassé son moteur à la 12e heure, après avoir mené sept heures consécutives.
  • Ici, la 917 LH #3 du Martini Racing Team, pilotée par Gérard Larrousse et Willy Khausen. On voit bien la différence d'aérodynamique avec un modèle "K".
  • La 917 LH #3 arborait une livrée particulière ; de mystérieuses formes vertes sur fond violet. La police du numéro est aussi particulière, ce qui valut à la voiture un surnom : la 917 "Psychédélique".
  • La légende en piste au Mans
  • ... Soit son habitat naturel.
  • La première victoire Porsche pour la 917 K #23. Elle aurait pu être pour la 917 K #20 de J.W.A Engineering, mais cette dernière a cassé son moteur à la 12e heure, après avoir mené sept heures consécutives.
  • Ici, la 917 LH #3 du Martini Racing Team, pilotée par Gérard Larrousse et Willy Khausen. On voit bien la différence d'aérodynamique avec un modèle "K".
  • La 917 LH #3 arborait une livrée particulière ; de mystérieuses formes vertes sur fond violet. La police du numéro est aussi particulière, ce qui valut à la voiture un surnom : la 917 "Psychédélique".
  • La légende en piste au Mans
  • ... Soit son habitat naturel.
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La première victoire Porsche pour la 917 K #23. Elle aurait pu être pour la 917 K #20 de J.W.A Engineering, mais cette dernière a cassé son moteur à la 12e heure, après avoir mené sept heures consécutives.

Puis, en 1971, la copie est encore revue, avec toujours plus de performance à la clé : c’est l’année de tous les records. Une pole position à 250,069 km/h de moyenne pour Pedro Rodríguez sur une 917 LH, soit à peine 3’13’’9 pour réaliser un tour, et une pointe de vitesse à 394 km/h. Le meilleur tour en course est battu, et hormis une percée d’une Ferrari 512 M, la course est encore dominée par les Porsche. La 917 K #22 victorieuse de Gijs Van Lennep et Helmut Marko coupe le damier en ayant réalisé 397 tours du circuit d’alors, soit 5333,313 km parcourus. Il faut attendre 2010 pour voir une autre voiture faire mieux.

Ceci marque la fin de la 917 au Mans. Le nouveau règlement force les constructeurs à diminuer la cylindrée de leurs prototypes, et contraint donc Porsche à retirer sa création des 24 Heures. D’autres modèles ont plus souvent gagné Le Mans, et parfois, avec de plus grands écarts encore. Mais jamais le public – très nombreux à l’époque – n’avait vu de voiture si rapide sur le Circuit des 24 Heures du Mans. Les 917 incarnent alors le nec plus ultra de la performance moderne, avec tous les curseurs poussés au maximum. C’est en partie pourquoi ce prototype est si souvent cité à l’évocation des meilleures voitures de course de tous les temps. Et donc, aussi, pourquoi on s’en rappelle.

  • Deuxième victoire consécutive pour un modèle "K", cette fois doté du moteur de 4.9 L.
  • Un triomphe historique à bien des égards, notamment au vu de la distance parcourue.
  • Ce châssis en particulier était en magnésium, une matière 33% plus légère que l'aluminium. On reconnaît la version de 1971 aux ailettes verticales à l'arrière de la carrosserie.
  • Au début de la course, la Porsche 917 LH  #18 de J.W.A Engineering pilotée par Pedro Rodriguez et Jackie Oliver est plus rapide, mais une fuite d'huile met fin à tout espoir peu après 4 heures.
  • C'est cette voiture qui partait depuis la pole. D'ailleurs, comme on peut le voir sur cette photo, trois 917 LH figuraient aux trois premières places lors du départ.
  • Deuxième victoire consécutive pour un modèle "K", cette fois doté du moteur de 4.9 L.
  • Un triomphe historique à bien des égards, notamment au vu de la distance parcourue.
  • Ce châssis en particulier était en magnésium, une matière 33% plus légère que l'aluminium. On reconnaît la version de 1971 aux ailettes verticales à l'arrière de la carrosserie.
  • Au début de la course, la Porsche 917 LH  #18 de J.W.A Engineering pilotée par Pedro Rodriguez et Jackie Oliver est plus rapide, mais une fuite d'huile met fin à tout espoir peu après 4 heures.
  • C'est cette voiture qui partait depuis la pole. D'ailleurs, comme on peut le voir sur cette photo, trois 917 LH figuraient aux trois premières places lors du départ.
  • Deuxième victoire consécutive pour un modèle "K", cette fois doté du moteur de 4.9 L.
  • Un triomphe historique à bien des égards, notamment au vu de la distance parcourue.
  • Ce châssis en particulier était en magnésium, une matière 33% plus légère que l'aluminium. On reconnaît la version de 1971 aux ailettes verticales à l'arrière de la carrosserie.
  • Au début de la course, la Porsche 917 LH  #18 de J.W.A Engineering pilotée par Pedro Rodriguez et Jackie Oliver est plus rapide, mais une fuite d'huile met fin à tout espoir peu après 4 heures.
  • C'est cette voiture qui partait depuis la pole. D'ailleurs, comme on peut le voir sur cette photo, trois 917 LH figuraient aux trois premières places lors du départ.
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Deuxième victoire consécutive pour un modèle "K", cette fois doté du moteur de 4.9 L.

Haute en couleurs

L’ascension rapide et les deux victoires avec la manière n’expliquent pas, à elles seules, la place importante de la Porsche 917 dans l’imaginaire collectif. Il existe d’autres pistes intéressantes, comme l’identité visuelle marquée des prototypes. À l’époque, il est courant d’avoir des sponsors titres, soit des voitures aux couleurs d’une seule marque, et pas de plusieurs comme c’est le cas de nos jours. Ceci permet aux designers d’avoir beaucoup plus de place pour s’exprimer, notamment pour la peinture.

En trois ans, les Porsche 917 ont attiré d’énormes sponsors titres, et par conséquent, des livrées qui sont entrées dans l’histoire. Les fans ont pu apprécier la fameuse 917 LH « Psychédélique » en 1970, mais aussi, la légendaire Porsche 917/20 Coupé Sau « cochon rose » en 1971, découpée comme pour montrer les parties mangeables d’un porc. Ce modèle unique n’a pas vu l’arrivée, mais est resté dans les annales pour sa forme particulière, élargie et à mi-chemin entre une 917 K et une 917 LH.

Sans oublier la plus connue d’entre toutes ; la décoration orange et bleue liée au pétrolier Gulf sur les voitures de l’équipe John Wyer Automotive Engineering, ou J.W.A. pour les intimes. Au firmament grâce à deux victoires consécutives avec les Ford GT40 « Gulf » (en 1968 et 1969), John Wyer n’a jamais connu autant de succès en exploitant des Porsche au Mans. Mais il n’empêche que les allemandes drapées de ces couleurs sont encore dans toutes les mémoires. Notamment en raison d’un film bien particulier…

  • La livrée "Gulf" de J.W.A. Sur Ford ou Porsche, toujours aussi charismatique.
  • Souvent primées dans des concours d'élégance, les Porsche 917 (de toutes les couleurs) s'arrachent à prix d'or. En 2017, la 917 pilotée par Steve McQueen et anciennement possédée par le pilote Suisse Jo Siffert s'est vendue pour 12 000 000 d'euros.
  • La livrée "Gulf" de J.W.A. Sur Ford ou Porsche, toujours aussi charismatique.
  • Souvent primées dans des concours d'élégance, les Porsche 917 (de toutes les couleurs) s'arrachent à prix d'or. En 2017, la 917 pilotée par Steve McQueen et anciennement possédée par le pilote Suisse Jo Siffert s'est vendue pour 12 000 000 d'euros.
  • La livrée "Gulf" de J.W.A. Sur Ford ou Porsche, toujours aussi charismatique.
  • Souvent primées dans des concours d'élégance, les Porsche 917 (de toutes les couleurs) s'arrachent à prix d'or. En 2017, la 917 pilotée par Steve McQueen et anciennement possédée par le pilote Suisse Jo Siffert s'est vendue pour 12 000 000 d'euros.
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La livrée "Gulf" de J.W.A. Sur Ford ou Porsche, toujours aussi charismatique.

Yeux bleus et montre carrée

Impossible de passer à côté. La Porsche 917 doit une bonne partie de sa popularité au film Le Mans réalisé par Lee H. Katzin et sorti en 1971, avec pour acteur principal l’iconique Steve McQueen. Dans l’intrigue, le personnage joué par McQueen, un certain Michael Delaney, est pilote sur la Porsche 917 #20 décorée par « Gulf ». L’histoire de la production de ce film est bien connue, malgré l’échec à sa sortie en salles. Encore aujourd’hui, 53 ans après, l’image de ce monstre du cinéma plane au dessus du Circuit des 24 Heures.

Il n’est pas rare de tomber sur des images de Steve McQueen en combinaison « Gulf », entre autres Porsche 911 décorées de cette manière dans les nombreux campings aux abords du circuit. Le Mans bénéficie aujourd’hui du statut de film classique, et la Porsche 917 y tient le second rôle.

Porsche et l’histoire

Au bout du compte, la popularité intemporelle de la Porsche 917 s’explique de différentes façons, mais sans l’apport de la marque, il n’en serait rien. Très portée sur son histoire, la firme allemande entretient le mythe autant qu’elle peut. En 2018, par exemple, pour les 70 ans de l’entreprise, elle n’hésite pas à décorer une Porsche 911 RSR aux couleurs du « cochon rose » de 1971.

  • Un cochon très rapide, puisque Kévin Estre, Michael Christensen et Laurens Vanthoor avaient remporté la catégorie LM GTE Pro.
  • Pilotes, mécaniciens, et même les stands, couvert d'une toile rappelant les vieilles briques, faisaient référence au passé. Ici Laurens Vanthoor attendant son volant la nuit.
  • Un cochon très rapide, puisque Kévin Estre, Michael Christensen et Laurens Vanthoor avaient remporté la catégorie LM GTE Pro.
  • Pilotes, mécaniciens, et même les stands, couvert d'une toile rappelant les vieilles briques, faisaient référence au passé. Ici Laurens Vanthoor attendant son volant la nuit.
  • Un cochon très rapide, puisque Kévin Estre, Michael Christensen et Laurens Vanthoor avaient remporté la catégorie LM GTE Pro.
  • Pilotes, mécaniciens, et même les stands, couvert d'une toile rappelant les vieilles briques, faisaient référence au passé. Ici Laurens Vanthoor attendant son volant la nuit.
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Un cochon très rapide, puisque Kévin Estre, Michael Christensen et Laurens Vanthoor avaient remporté la catégorie LM GTE Pro.

Les livrées « Martini & Rossi » ou les bandes blanches sur fond rouge de la 917 K victorieuse en 1970 sont souvent reprises sur des modèles spéciaux, comme la nouvelle Porsche 935 sortie en 2019. Sans même évoquer toutes les livrées « Gulf », présentes sans discontinuer, ou presque, depuis l’époque. Encore en 2023, l’équipe Proton GR Racing l’arborait – à moitié – sur sa Porsche 911 RSR-19 en catégorie LMGTE Am. Et puis, bien sûr, l'Hypercar de Porsche Penske Motorsport, la 963, qui était vêtue elle aussi une décoration en rapport avec les glorieuses heures de la 917. 

  • Sur la 963, plusieurs bandes rappellent l'histoire de Porsche. Parmi elles, la verte fait référence à la 917 LH "Psychédélique", la rose à la 917/20 "Cochon Rose", la bleue ciel aux décorations "Gulf", et la rouge à la 917 K victorieuse en 1970.
  • Une livrée qui n'a pas porté chance à la firme allemande, mais la 963 sera de retour en 2024 pour assoir sa légende.
  • La 911 RSR-19 de GR Proton Racing. C'était une surprise ! À l'origine, elle aurait dû être toute noire comme sur le côté gauche. Une idée asymétrique non déplaisante !
  • Sur la 963, plusieurs bandes rappellent l'histoire de Porsche. Parmi elles, la verte fait référence à la 917 LH "Psychédélique", la rose à la 917/20 "Cochon Rose", la bleue ciel aux décorations "Gulf", et la rouge à la 917 K victorieuse en 1970.
  • Une livrée qui n'a pas porté chance à la firme allemande, mais la 963 sera de retour en 2024 pour assoir sa légende.
  • La 911 RSR-19 de GR Proton Racing. C'était une surprise ! À l'origine, elle aurait dû être toute noire comme sur le côté gauche. Une idée asymétrique non déplaisante !
  • Sur la 963, plusieurs bandes rappellent l'histoire de Porsche. Parmi elles, la verte fait référence à la 917 LH "Psychédélique", la rose à la 917/20 "Cochon Rose", la bleue ciel aux décorations "Gulf", et la rouge à la 917 K victorieuse en 1970.
  • Une livrée qui n'a pas porté chance à la firme allemande, mais la 963 sera de retour en 2024 pour assoir sa légende.
  • La 911 RSR-19 de GR Proton Racing. C'était une surprise ! À l'origine, elle aurait dû être toute noire comme sur le côté gauche. Une idée asymétrique non déplaisante !
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Sur la 963, plusieurs bandes rappellent l'histoire de Porsche. Parmi elles, la verte fait référence à la 917 LH "Psychédélique", la rose à la 917/20 "Cochon Rose", la bleue ciel aux décorations "Gulf", et la rouge à la 917 K victorieuse en 1970.

Tout cela crée une impression de continuité, qui, liée au travail de Porsche et à l’héritage triomphant de la 917, ne cesse de nourrir la légende. C’est ainsi que depuis les seventies, un prototype construit en moins d’un an est devenu le rêve de millions.

  • Il est toujours difficile d'expliquer un succès. L'époque, et plus largement, le contexte historique joue beaucoup. Les 24 Heures étaient très populaires au début des années 1970. Voir de tels prototypes déclenche des passions, c'est certain.
  • Aussi incroyable que cela puisse paraître, la 917 fait une nouvelle apparition au Mans... 10 ans plus tard ! Porche Kremer Racing profite du règlement pour engager une 917K/81, toujours avec le Flat-12 de 4,9 L. Elle ne termine pas la course.
  • Il est toujours difficile d'expliquer un succès. L'époque, et plus largement, le contexte historique joue beaucoup. Les 24 Heures étaient très populaires au début des années 1970. Voir de tels prototypes déclenche des passions, c'est certain.
  • Aussi incroyable que cela puisse paraître, la 917 fait une nouvelle apparition au Mans... 10 ans plus tard ! Porche Kremer Racing profite du règlement pour engager une 917K/81, toujours avec le Flat-12 de 4,9 L. Elle ne termine pas la course.
  • Il est toujours difficile d'expliquer un succès. L'époque, et plus largement, le contexte historique joue beaucoup. Les 24 Heures étaient très populaires au début des années 1970. Voir de tels prototypes déclenche des passions, c'est certain.
  • Aussi incroyable que cela puisse paraître, la 917 fait une nouvelle apparition au Mans... 10 ans plus tard ! Porche Kremer Racing profite du règlement pour engager une 917K/81, toujours avec le Flat-12 de 4,9 L. Elle ne termine pas la course.
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Il est toujours difficile d'expliquer un succès. L'époque, et plus largement, le contexte historique joue beaucoup. Les 24 Heures étaient très populaires au début des années 1970. Voir de tels prototypes déclenche des passions, c'est certain.

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