Une nouvelle série YouTube va emmener les fans dans certaines des zones les plus fascinantes et les plus chargées d’adrénaline du paddock du Championnat du monde d’endurance FIA WEC.

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FIA WEC

Pour sa première saison dans la catégorie Hypercar du Championnat du monde d’endurance FIA WEC, BMW M Team WRT a montré qu'il était un outsider. La BMW M Hybrid V8 a rapidement progressé, passant de novice à candidate sérieuse pour les premières places. À travers des performances en constante amélioration, cette première année a posé les bases d'un avenir ambitieux pour BMW dans la catégorie reine de l’endurance.

Comme toute nouvelle &eacute;quipe et voiture, les d&eacute;buts de BMW en FIA WEC ont &eacute;t&eacute; ponctu&eacute;s d&rsquo;ajustements et d&rsquo;apprentissages. BMW M Team WRT a d&rsquo;abord vis&eacute; le top 10, mais d&egrave;s la mi-saison, ses performances se sont nettement am&eacute;lior&eacute;es. La BMW M Hybrid V8 a commenc&eacute; &agrave; se hisser r&eacute;guli&egrave;rement dans le peloton de t&ecirc;te. Elle est ainsi devenue une candidate s&eacute;rieuse pour les places d&rsquo;honneur.

Ces progr&egrave;s constants ont permis &agrave; BMW de terminer la saison 2024 en cinqui&egrave;me position du Championnat du monde d&rsquo;endurance FIA des constructeurs Hypercar, un r&eacute;sultat impressionnant pour une premi&egrave;re ann&eacute;e en FIA WEC. BMW a ainsi devanc&eacute; Peugeot, Cadillac et Lamborghini, montrant que l&rsquo;&eacute;quipe et sa voiture sont pr&ecirc;tes &agrave; rivaliser avec les meilleurs.

<h2>Les 24 Heures du Mans : des espoirs et des &eacute;motions fortes</h2>

L&rsquo;&eacute;preuve la plus attendue de la saison, la 92e &eacute;dition des 24 Heures du Mans, a apport&eacute; son lot de rebondissements pour BMW M Team WRT. Les deux voitures engag&eacute;es ont connu des fortunes diverses. La BMW M Hybrid V8 #15 a d&ucirc; abandonner apr&egrave;s une sortie de piste, un coup dur pour l&rsquo;&eacute;quipe qui nourrissait de grandes ambitions pour cette premi&egrave;re participation. La voiture #20 a, elle, franchi la ligne d&rsquo;arriv&eacute;e, mais sans &ecirc;tre class&eacute;e, une situation qui n&rsquo;a fait qu&rsquo;ajouter aux montagnes russes &eacute;motionnelles de la classique mancelle, d&eacute;crite par BMW comme un &laquo; v&eacute;ritable tourbillon d&rsquo;&eacute;motions &raquo;.

<h2>Des bases solides pour l&#39;avenir</h2>

Malgr&eacute; les d&eacute;fis rencontr&eacute;s, BMW M Team WRT peut &ecirc;tre fier de son palmar&egrave;s 2024. En plus d&rsquo;une performance notable aux 6 Heures de Fuji o&ugrave; la BMW M Hybrid V8 a d&eacute;croch&eacute; une deuxi&egrave;me place, l&rsquo;&eacute;quipe a accumul&eacute; quatre top 10 et a pris part &agrave; sept Hyperpoles, une indication claire de sa comp&eacute;titivit&eacute; croissante.

Andreas Roos, directeur de BMW M Motorsport, a salu&eacute; le travail acharn&eacute; de toute l&rsquo;&eacute;quipe : &laquo; Une longue saison s&rsquo;est achev&eacute;e lors des Bapco Energies 8 Heures de Bahre&iuml;n. Dans l&rsquo;ensemble, nous pouvons la regarder de mani&egrave;re positive, compte tenu du fait qu&rsquo;il s&rsquo;agissait de notre premi&egrave;re saison en FIA WEC. Je tiens &agrave; remercier tout le monde chez BMW M Motorsport, BMW M Team WRT, tous nos pilotes et toutes les personnes impliqu&eacute;es dans le d&eacute;veloppement de notre voiture. Nous allons profiter de cette pause hivernale et travailler dur pour revenir plus forts l&rsquo;ann&eacute;e prochaine. &raquo;

Avec un tel bilan, les attentes sont hautes pour la saison 2025. Ren&eacute; Rast, l&rsquo;un des pilotes phares de BMW M Team WRT, se montre optimiste : &laquo; Nous pouvons regarder nos performances de mani&egrave;re positive. Nous pouvons nous battre pour les premi&egrave;res places gr&acirc;ce &agrave; nos propres forces. C&rsquo;est une grande source de motivation pour la saison 2025 ! &raquo;

La BMW M Hybrid V8 et BMW M Team WRT ont prouv&eacute; qu&rsquo;ils n&rsquo;&eacute;taient pas seulement l&agrave; pour apprendre, mais pour jouer les premiers r&ocirc;les dans une cat&eacute;gorie Hypercar tr&egrave;s comp&eacute;titive. Forts de cette premi&egrave;re exp&eacute;rience, ils abordent d&eacute;sormais la saison prochaine avec confiance, pr&ecirc;ts &agrave; se battre pour le podium et &agrave; &eacute;crire un nouveau chapitre de l&rsquo;histoire de BMW en endurance.

BMW M Team WRT : de nouveau venu en Hypercar à prétendant au podium

Pour la 93e édition des 24 Heures du Mans (11-15 juin 2025) et la saison 2025 du Championnat du monde d’endurance FIA WEC, Toyota Gazoo Racing renouvelle sa confiance en ses équipages 2024.

Cette ann&eacute;e, Toyota a une nouvelle fois marqu&eacute; l&rsquo;histoire avec un sixi&egrave;me titre cons&eacute;cutif de champion du monde d&rsquo;endurance des constructeurs. Pour 2025, le constructeur japonais se fixe comme objectif de poursuivre sur sa lanc&eacute;e et a d&eacute;cid&eacute; de reconduire ses trios de pilotes.

Pour la deuxi&egrave;me saison cons&eacute;cutive, le trio compos&eacute; de Mike Conway, Kamui Kobayashi et Nyck de Vries pilotera la Toyota GR010 Hybrid #7. Ensemble, ils ont remport&eacute; les 6 Heures d&rsquo;Imola. Kamui Kobayashi et Nyck de Vries ont termin&eacute; troisi&egrave;me du Championnat du monde d&rsquo;endurance FIA des pilotes Hypercar. 
Sur la Toyota #8, S&eacute;bastien Buemi, Brendon Hartley et Ryo Hirakawa poursuivront leur collaboration. Celle-ci s&rsquo;est sold&eacute;e par deux titres mondiaux et une victoire aux 24 Heures du Mans au cours des trois derni&egrave;res saisons.

Kamui Kobayashi, pilote de la Toyota #7 et chef de l&rsquo;&eacute;quipe, explique&nbsp;: &laquo; Nous avons un &eacute;quipage de haut niveau dans nos deux voitures, et je suis heureux d&#39;en faire &agrave; nouveau partie pour 2025. L&rsquo;esprit d&rsquo;&eacute;quipe et la coh&eacute;sion entre tous les pilotes, ainsi qu&rsquo;avec l&rsquo;ensemble du groupe, se renforcent &agrave; chaque course et chaque saison. Gr&acirc;ce au soutien ind&eacute;fectible de tous chez Toyota et de nos partenaires, nous avons obtenu de bons r&eacute;sultats cette ann&eacute;e, mais nous sommes r&eacute;solus &agrave; aller encore plus loin. Courir en cat&eacute;gorie Hypercar dans le FIA WEC est un d&eacute;fi immense, avec une concurrence de tr&egrave;s haut niveau. En tant qu&rsquo;&eacute;quipe, nous cherchons sans cesse &agrave; nous surpasser &agrave; chaque &eacute;preuve. Je m&rsquo;attends &agrave; ce que cette dynamique se poursuive la saison prochaine, avec un line-up de pilotes stable qui savent comment r&eacute;ussir en endurance. Toute l&rsquo;&eacute;quipe est enthousiaste &agrave; l&rsquo;id&eacute;e de relever les d&eacute;fis de 2025. &raquo;

S&eacute;bastien Buemi, pilote de la Toyota #8 et pilier de Toyota Gazoo Racing en endurance, confie&nbsp;: &laquo; Cette &eacute;quipe fait partie int&eacute;grante de ma filiation. J&rsquo;ai grandi autour de cette marque, car ma famille poss&egrave;de une concession Toyota depuis plus de 50 ans, et je me souviens avoir &eacute;t&eacute; pris en photo &agrave; c&ocirc;t&eacute; de la GT-One au Salon de Gen&egrave;ve quand j&rsquo;&eacute;tais enfant. C&rsquo;est formidable de faire partie de l&rsquo;&eacute;quipe depuis la premi&egrave;re saison en 2012, apr&egrave;s avoir obtenu de nombreux bons r&eacute;sultats au cours de cette p&eacute;riode. Merci &agrave; Toyota Gazoo Racing de me donner l&rsquo;opportunit&eacute; de viser une nouvelle victoire aux 24 Heures du Mans et un nouveau titre de Champion du Monde d&rsquo;endurance. &raquo;

Toyota Gazoo Racing : équipages inchangés pour la saison 2025

La première saison de l'Alpine A424 en Championnat du monde d'endurance FIA WEC s'est achevée avec des performances prometteuses. Bien que 2024 ait été une année d'apprentissage, Alpine Endurance Team termine au quatrième rang du Championnat du monde des constructeurs Hypercar, derrière Toyota, Porsche et Ferrari. Un bilan honorable pour la marque au "A fléché", qui s'affirme comme la meilleure des nouvelles arrivantes dans cette catégorie ultra-compétitive.

<h2>Des d&eacute;buts encourageants malgr&eacute; les obstacles</h2>

L&#39;Alpine A424 n&#39;a pas &eacute;t&eacute; &eacute;pargn&eacute;e par les al&eacute;as m&eacute;caniques, notamment lors des 24 Heures du Mans, o&ugrave; un double abandon a terni les espoirs de bien figurer. Cependant, l&#39;&eacute;quipe a su rebondir en d&eacute;crochant des places significatives par la suite. On retient notamment une cinqui&egrave;me place au Lone Star Le Mans, une troisi&egrave;me place aux 6 Heures de Fuji, et une solide quatri&egrave;me position aux Bapco Energies 8 Heures de Bahre&iuml;n. &Agrave; l&rsquo;issue de cette premi&egrave;re campagne, le palmar&egrave;s 2024 de l&rsquo;Alpine A424 se traduit par un podium, trois top cinq, neuf top dix, un meilleur tour en course et quatre apparitions en Hyperpole. Une performance qui t&eacute;moigne du potentiel de la voiture et de l&#39;engagement de l&#39;&eacute;quipe.

<h2>Une progression constante</h2>

Bruno Famin, Directeur Alpine Motorsports, se montre optimiste pour l&#39;avenir. Selon lui, l&rsquo;un des faits marquants de cette saison 2024 est le travail collectif r&eacute;alis&eacute; par les pilotes et l&#39;ensemble du team&nbsp;: &laquo;&nbsp;Les individualit&eacute;s se sont mises au service du projet et ont toujours travaill&eacute; avec le m&ecirc;me objectif : faire progresser l&rsquo;&eacute;quipe et d&eacute;velopper le potentiel de l&rsquo;A424, le tout dans un collectif extr&ecirc;mement fort. La saison a &eacute;t&eacute; exempte de sortie, ce qui est pr&eacute;cieux lors d&rsquo;une ann&eacute;e d&rsquo;apprentissage. Au fil des courses, et en fonction des circonstances, nous les avons &eacute;galement vus se distinguer en piste &agrave; tour de r&ocirc;le quand il le fallait. Nous l&rsquo;avons encore vu aujourd&rsquo;hui et nous pouvons &ecirc;tre fiers du travail accompli par nos sept pilotes et par l&rsquo;ensemble de l&rsquo;&eacute;quipe. &raquo;

<h2>2025 en ligne de mire</h2>

Parmi les pilotes, Charles Milesi, qui a contribu&eacute; aux performances de l&rsquo;Alpine A424 #36, salue les progr&egrave;s r&eacute;alis&eacute;s tout au long de la saison&nbsp;: &laquo;&nbsp;C&rsquo;&eacute;tait une saison positive dans l&rsquo;ensemble. Nous avons fait beaucoup de progr&egrave;s tout au long de cette ann&eacute;e. Nous savons toutefois qu&rsquo;il nous reste beaucoup de travail pour atteindre nos futurs objectifs et nous allons nous concentrer sur nos prochains essais afin de nous rapprocher des avant-postes en 2025.&nbsp;&raquo;

Un hiver studieux attend l&rsquo;&eacute;quipe de Philippe Sinault qui, gageons-le, vise une mont&eacute;e en puissance et une place sur les podiums en 2025, tout en consolidant son statut parmi les grands constructeurs de la cat&eacute;gorie Hypercar.

Alpine Endurance Team prend rendez-vous pour 2025

Alors que les marins se préparent à affronter le large pour la 10e édition du Vendée Globe, dont le départ est donné ce dimanche 10 novembre 2024, une question se pose : un pilote pourrait-il, lui aussi, participer aux 24 Heures du Mans en solitaire ?

Cette id&eacute;e, qui peut sembler inconcevable aujourd&rsquo;hui, trouve en fait un &eacute;cho dans l&rsquo;histoire des 24 Heures du Mans, notamment avec <a href="https://www.24h-lemans.com/fr/actualites/24-heures-stories-louis-rosier-23-heures-sur-24-55794" target="_blank">l&rsquo;exploit de Louis Rosier</a>. En 1950, lors de sa troisi&egrave;me participation, ce pilote fran&ccedil;ais accomplit un acte h&eacute;ro&iuml;que et improbable : il remporta la course quasiment seul, ayant pass&eacute; plus de 23 heures au volant. Rosier fit un relais minimum &agrave; son fils, Jean-Louis, pour quelques tours, ce qui reste aujourd&rsquo;hui un record en mati&egrave;re d&rsquo;endurance. Cet exploit, digne des marins solitaires qui affrontent les oc&eacute;ans sans relais, reste grav&eacute; dans l&rsquo;histoire de la classique mancelle.

<h2>Le temps de conduite composante de la strat&eacute;gie de course</h2>

Aujourd&#39;hui, une telle performance serait tout simplement impossible. Le r&egrave;glement des 24 Heures du Mans impose strictement que trois pilotes se partagent le volant de chaque voiture engag&eacute;e dans la course. Les r&egrave;gles sont pens&eacute;es pour garantir la s&eacute;curit&eacute; et la performance des &eacute;quipes sur une course aussi intense et exigeante. Le temps de conduite maximal est ainsi limit&eacute; &agrave; quatre heures pour toute p&eacute;riode de six heures, et chaque pilote doit respecter un temps de repos obligatoire entre chaque relais.

De plus, les pilotes Bronze et Silver des cat&eacute;gories LMP2 et LMGT3 doivent passer un minimum de 6 heures au volant durant la course. Si un pilote ne parvient pas &agrave; atteindre ce temps de conduite minimum, l&#39;&eacute;quipe risque une p&eacute;nalit&eacute; pouvant aller jusqu&#39;&agrave; la disqualification. &Agrave; l&#39;inverse, si un pilote d&eacute;passe le temps de conduite maximal autoris&eacute;, la sanction peut &eacute;galement mener &agrave; la disqualification.

Ces r&egrave;glements, strictement encadr&eacute;s par les Commissaires Sportifs, visent avant tout &agrave; &eacute;viter les exc&egrave;s de fatigue et &agrave; pr&eacute;server la s&eacute;curit&eacute; des concurrents. Contrairement aux navigateurs solitaires du Vend&eacute;e Globe, les pilotes des 24 Heures du Mans doivent donc imp&eacute;rativement partager leurs efforts. Si l&#39;endurance reste une cl&eacute; dans chacune des deux &eacute;preuves, la nature m&ecirc;me des 24 Heures du Mans impose un travail d&#39;&eacute;quipe o&ugrave; chaque pilote joue un r&ocirc;le d&eacute;terminant dans la qu&ecirc;te de la victoire.

Ainsi, l&#39;exploit de Louis Rosier reste une prouesse unique dans l&#39;histoire de la course automobile et t&eacute;moigne d&#39;une &eacute;poque o&ugrave; les limites &eacute;taient test&eacute;es d&#39;une mani&egrave;re diff&eacute;rente. En 2024, les 24 Heures du Mans sont avant tout une affaire d&#39;&eacute;quipe, de coordination et de strat&eacute;gie collective, tandis que le Vend&eacute;e Globe reste un d&eacute;fi solitaire, o&ugrave; chaque concurrent fait face &agrave; lui-m&ecirc;me.

Un pilote peut-il participer aux 24 Heures du Mans en solitaire ?

24 épisodes (ou quatre après chacune des six courses) seront publiés au cours de la saison. Cette série intitulée « WEC Full Access » emmène notamment le spectateur dans les briefings officiels des pilotes et les zones du paddock inaccessibles.

Le premier épisode montre quelques-uns des moments marquants des 1000 Miles de Sebring tels que des échanges entre les équipes et les ingénieurs de Corvette Racing, Toyota Gazoo Racing et Richard Mille Racing. Il met en vedette de grands noms de la course comme Sébastien Ogier, Jacky Ickx, Ryan Briscoe et Jim Glickenhaus. 
Des fans légendaires du virage 10 à la sortie de piste de José María López, il y a de la passion et du drame sur l’un des circuits les plus mythiques de l’endurance.

Chaque vendredi, un nouvel épisode de la série sera publié sur la <a href="https://www.youtube.com/user/FIAWEC">chaîne YouTube du FIA WEC</a>. Retrouvez l’épisode 1 grâce à la vidéo (en anglais) ci-dessous.

24H LE MANS

Plongez au cœur du FIA WEC avec la série « WEC Full Access »

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