La structure Veloce Esports est l'une des deux équipes invitées pour cette Super Finale des Le Mans Esports Series. James Baldwin (Veloce_Jaaames), Noah Schmitz (Veloce_Virus) et David Kelly (Sauber_Dave) forment un trio redoutable. Malgré une préparation limitée, du fait d'une confirmation tardive de leur venue, les pilotes sont bien décidés à briller.
James Baldwin (Veloce_Jaaames)
Présent en esport depuis 2017, James Baldwin est âgé de 21 ans. Il s’intéresse au sport automobile depuis son enfance, notamment avec un parcours en karting. Son premier jeu de course ? Project Cars. « En 2018, je me suis lancé sur de nombreux jeux comme Assetto Corsa, Gran turismo Sport, F1 2018 et Forza Motorsport 7. Je veux devenir le meilleur pilote multiplateforme au monde ». Son premier contact avec le circuit des 24 Heures du Mans fut sur Project Cars. « Je n’étais pas très bon au début mais j’ai appris à maîtriser le circuit et il fait aujourd’hui partie de mes préférés. »
Noah Schmitz (Veloce_Virus)
A 19 ans, Noah Schmitz est un spécialiste de Forza Motorsport 7. Il faisait partie des finalistes du ForzaRC 2018 et se présente, avec son équipe, fort de solides et légitimes ambitions. A 19 ans, il est – déjà – pilote professionnel. En piste, il pourrait faire parler son expérience de gestion du trafic, comme il a su le prouver par un dépassement osé sur le tracé de Silverstone lors du ForzaRC 2018. De l'animation en piste est à attendre !
David Kelly (Sauber_Dave)
Membre de l'équipe Sauber Esports, David Kelly est lui aussi un fin connaisseur de Forza Motorsport 7. « Je joue à des jeux de course depuis que je suis né ou presque plaisante le joueur, du haut de ses 30 ans. J’ai joué à la série de Gran Turismo et je crois que c’était mon premier jeu. Avant, bien entendu, je jouais à Mario Kart et après je me suis lancé dans Colin McRae Rally. » Un parcours éclectique mais une vraie maîtrise, volant en main.
Que pense le pilote du circuit de la Sarthe ? « Le tracé est dingue. Je ne connais pas d’équivalent, L’association de la vitesse pure, de la puissance, du bruit, cela donne un mix superbe. J’aime jouer sur la version virtuelle. C’est un circuit long, alors je ne m’y attaque pas souvent mais j’aime y rouler. Le Mans semble facile au premier coup d’œil, avec de grandes lignes droites et peu de virages. Mais, en fait, pour y être rapide, il faut beaucoup travailler ! »
PHOTO : LE MANS (SARTHE, FRANCE), CIRCUIT DES 24 HEURES DU MANS, LE MANS ESPORT SERIES 2019. Professionnels, appliqués, rigoureux. Les pilotes Veloce Esports peuvent-ils l'emporter samedi ?